samedi 26 janvier 2008

L'année commence en fanfare...

oh... petite déception ce mercredi 23... la Maison de l'Emploi est en cours de traitement : une lasure est appliquée sur le bardage en bois naturel qui est pourtant prévu pour résister tel que aux intempéries... Il faudra à présent penser à l'entretenir très régulièrement :-( et avec des produit moins écologiques que "rien"!



autre déception le mercredi précédent... érection spectaculaire... d'une nouvelle antenne GSM à proximité de la bibliothèque communale, juste le long de la route... et plutôt proche des habitations!

L'occasion pour nous de rappeler les mesures de prudences déjà "relayées" par nos instances fédérales!

Rappelons plus particulièrement :



« L’effet de surprise des résultats de REFLEX, dont les
travaux se sont déroulés de 2000 à 2004, est l’affirmation, de façon nettement
évidente et répétée, que des ruptures simples ou doubles des brins d’ADN de
plusieurs systèmes cellulaires se produisent sous l’effet des champs à très
basse fréquence ou des radiofréquences auxquels ils ont été exposés. En outre,
ces phénomènes génotoxiques sont présents même lorsqu’on descend sous des
densités de flux magnétiques ou des taux d’absorption spécifiques répondant aux
normes de sécurité admises en vigueur. »



Ce 1er octobre, le professeur
Adlkofer, de la Verum Fondation, a diffusé un message très alarmant au sujet des
téléphones mobiles UMTS. Selon lui, « il n’y a pas de doute que les
rayonnements des GSM UMTS sont dix fois plus préjudiciables que ceux du GSM
classique ». Il a mis en évidence le fait que les rayonnements UMTS
pouvaient provoquer des ruptures de brins d’ADN. « Des coupures de brins
ADN apparaissent à seulement 1/40ème des valeurs limites, les signaux UMTS ont
une efficacité supérieure presque de dix fois à celui du GSM ».



Ces déclarations sur l’UMTS du professeur Franz Adlkofer confortent et confirment à
nouveau les résultats de l’Étude Européenne REFLEX, citée plus haut, dont il
était le Coordinateur Général, sur ce que l’on savait déjà sur le GSM : le
rayonnement de la radiotéléphonie mobile endommage le matériel génétique et
augmente ainsi le risque de cancer.
Enfin, une étude suédoise vient d’être publiée, dont les résultats sont repris par l’hebdomadaire anglais « Independent on Sunday ». Elle est menée par les professeurs suédois Lennart Hardell et Kjell Hansson Mild, qui s’étaient déjà penchés sur le lien entre utilisation fréquente des téléphones portables et tumeur du cerveau. Cette fois, les deux chercheurs ont compilé les résultats de 11 études réalisées dans
différents pays. Il ressort de l’ensemble de celles-ci que les consommateurs qui
ont utilisé leur téléphone portable depuis 10 ans ou plus, courent 20% de
risques de plus de développer des problèmes auditifs.



Quant aux risques de cancer (gliomes), ils augmentent de 30%, selon les scientifiques suédois."Les études existantes sur l’utilisation du GSM sur une longue période montrent un accroissement du risque et l’éventualité de développer une tumeur du cerveau ne peut être exclue", ont-ils averti en appelant également à des enquêtes sur les liens avec les maladies d’Alzheimer et de Parkinson.



En conclusion, s’il est vrai qu’il subsiste un certain degré d’incertitude scientifique, il est donc flagrant que de plus en plus de résultats convergent pour démontrer des risques
pour la santé liés à une exposition intensive aux rayonnements électromagnétiques, et en particulier ceux qui utilisent les hyperfréquences. De plus, les risques pour la santé sont de nature très grave, tout autant dramatiques sur le plan individuel que coûteux pour la société.

... et puis bien sûr, il y a la problématique "poubelles"... (à suivre...)

1 commentaire:

Anonyme a dit…

hannutois.be parlait déjà de cette histoire de pylône